Dites lui qu’il a accompli un pas de géant. Qu’il a terminé au pied du podium de l’une des épreuves les plus piégeuses qui existe. Qu’il a terminé devant les trois hommes qui se battaient encore pour le titre suisse, parmi lesquels le Tessinois Ivan Ballinari qui a rapporté le premier sacre de son histoire à son canton. Puis attendez. Mais n’attendez surtout pas ne serait-ce qu’une pointe d’autosatisfaction. Non. C’est que Mike Coppens, quatrième de la 59e édition du Rallye international du Valais remportée pour la deuxième année d’affilée par l’Italien Giandomenico Basso, est déjà dans la recherche de l’amélioration. De la progression. «Il y a encore tant de choses à corriger avant d’espérer pouvoir jouer dans la cour de grands», confie le Verbiérain, lequel ne cesse d’avancer, lui qui avait terminé septième en 2016 et sixième l’an dernier.
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