Des feuilles jaunâtres qui bordent les routes humides. Des vignes qui rappellent qu’on est en terres vitivinicoles. Des bolides qui se battent à coups de secondes pour réaliser le meilleur chrono. Ça aurait pu être le Valais. Ça aurait pu seulement, parce que le Rallye international du Valais, initialement prévu les 17 et 18 octobre derniers mais qui, victime de la crise sanitaire, a mis son clignotant à droite le temps d’une édition. «Quand on a appris l’annulation de plusieurs rallyes qui étaient sur notre liste, on a cherché des alternatives. On ne serait pas allés en Italie si le Rallye du Valais avait eu lieu comme prévu», explique notamment Jonathan Michellod, qui a changé de destination en mettant le cap sur la Toscane.
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Deuxième épreuve au volant d’une R5
Au programme du pilote et de...