Août 2016. Lancé à plus de 260 km/h en ligne droite sur la portion la plus rapide de la course de côte Saint-Ursanne – Les Rangiers, Joël Volluz part à la faute. Pas d’erreur de pilotage. Pas de perte de contrôle. Ce jour-là, le Bas-Valaisan est trahi par la mécanique de son bolide, une Osella FA 30, 500 chevaux sous le capot. Parti en tête-à-queue avant de heurter les rails de sécurité à plusieurs reprises à la suite de la cassure d’une rotule de suspension, Joël Volluz s’en était sorti indemne. L’incident avait néanmoins et logiquement signifié la fin de sa saison.
«Je suis content d’être en vie, c’est tout ce qui compte», confiait alors celui dont la voiture n’avait pas fière allure. Contusionné de partout, le Bas-Valaisan s’en était sorti avec une entorse à la cheville.
L'impressionnant accident du Valaisan en 2016
Ne pas rester sur un échec
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