«C’est une perle…» Le qualificatif est unanimement servi à chaque fois qu’on évoque son nom. A Crans-Montana, Sophie Genoud a su se rendre quasi indispensable en dépit de son jeune âge. 31 ans, bientôt. «Ici, vous ne trouverez personne qui osera la moindre réserve à son égard», prévient Marius Robyr, le patron des épreuves de la Coupe du monde. «Elle est toujours au taquet, toujours de bonne humeur», confirme Gisèle Rossi, sa collègue au golf, surtout, et au ski. «Dès qu’on a un souci, on se tourne volontiers vers elle», sourit Dominique Morard, responsable des constructions. «C’est notre confidente.» «Sans elle, cette structure ne fonctionnerait pas aussi bien», surenchérissent-ils.
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Le cahier des charges la décrit comme la secrétaire des courses. Elle préfère le terme de coordinatrice, «parce que mon rôle va au-delà de cette tâche sans pour autant dénigrer...