En l’espace de huit jours, Théo Gmür a pu prendre part à six courses sur la piste de l’Ours de Veysonnaz. Lui qui n’avait plus skié depuis plus d’une année, en raison d’une blessure, s’est donc pleinement rassuré. Dans une année, pour les Mondiaux et les Jeux paralympiques de Pékin, il faudra donc compter avec lui.
Théo, n’êtes-vous pas trop frustré de n’avoir pas pu disputer les deux super-G, mercredi?
Je regrette cette annulation mais j’ai quand même eu deux descentes, la veille, pour retrouver mes repères en vitesse. J’aurai d’autres occasions de disputer des descentes et des super-G, dès la semaine prochaine à Saalbach. Je suis conscient que l’équipe de Didier Bonvin (ndlr: responsable de l’organisation) a fait le maximum pour qu’on puisse courir. Je les remercie d’avoir organisé ces épreuves dans le contexte actuel.
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