Coprésident de Ski Valais, Didier Plaschy l’avouait sans détour il y a quelques semaines: «En tant que sport individuel qui se pratique à l’extérieur et sans contact, nous faisons partie des privilégiés.» L’ancien slalomeur de Coupe du monde faisait référence à ces nombreuses disciplines sportives qui ont été freinées et même arrêtées net durant la première ou la deuxième vague du coronavirus, parfois les deux. Si les jeunes skieurs qui font partie de Ski Valais ont été moins perturbés dans leur développement, cela ne veut pas dire que l’association valaisanne n’a pas dû prendre de mesures et qu’elle n’a pas du tout été touchée pour autant.
Les athlètes ont eu le temps de se développer dans des domaines tels que l’endurance et la condition physique générale, ce qui leur sera très utile pour les prochaines années.
Rebecca Graven, responsable du Centre régional de performance (CRP) Mattertal
Au contraire. Elle,...