Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Le Val Ferret, capitale nordique du Valais francophone

Candide Pralong, qui a terminé 31e du 50 km olympique samedi matin, est le symbole d’une région qui s’est développée dans le ski de fond depuis 1957. Tout est parti d'une histoire de ... cigarettes.

24 févr. 2018, 12:04
La Fouly est un terrain reconnu en matière de ski de fond.

Le Val Ferret, capitale nordique du Valais francophone. Si quelqu’un en doutait encore, il aurait dû se lever samedi matin à six heures pour prendre son petit-déjeuner à l’ancienne école de Praz-de-Fort. Une quarantaine de personnes s’y étaient réunies pour suivre sur un écran géant le départ du 50 kilomètres classique, dernière épreuve de l’enfant du pays Candide Pralong. «Il y a une véritable histoire et une tradition entre notre région et cette discipline», confie Gervaise Marquis, présidente du ski-club Val Ferret fondé en 1957. «Voilà soixante ans que ça dure», se réjouit le président de la commune d’Orsières Joachim Rausis. «À titre de comparaison, le club de football a le même âge. C’est dire le lien qui unit le ski de fond à notre région», ajoute-t-il.

>> À lire aussi: JO: Candide Pralong, un diesel dessiné pour le 50 kilomètres

60 ans de ski de fond célébrés en 2017...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias