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Le Lauberhorn, ce mythe

En plus d’être la plus longue descente du cirque blanc, elle est aussi la toute première que les descendeurs ont dévalée en Coupe du monde, le 14 janvier 1967. Demain, 50 ans jour pour jour plus tard, Beat Feuz et Cie s’élanceront sur le même tracé que leurs illustres prédécesseurs.

12 janv. 2017, 23:21
/ Màj. le 13 janv. 2017 à 00:01
ZUM 50. JAHRESTAG DER FIS SKI WELTCUP-RENNEN AM LAUBERHORN IN WENGEN IM BERNER OBERLAND, SCHWEIZ, STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG - Jean-Claude Killy in Aktion in der Abfahrt bei den Weltcup-Rennen am Lauberhorn in Wengen, aufgenommen am 14. Januar 1967. Killy gewinnt die erste Abfahrt des FIS Weltcups. (KEYSTONE/PHOTOPRESS-ARCHIV/Str)e SCHWEIZ SKI ALPIN LAUBERHORN

La Coupe du monde de ski alpin fête ses 50 ans. 1967, une autre époque. Moins de coureurs, moins de nations et moins de courses au programme. Mais certaines choses n’ont pas changé, ou si peu. C’est le cas du Lauberhorn, choisi pour accueillir la première descente de Coupe du monde il y aura 50 ans jour pour jour demain. Et qui depuis entretient sa légende.

Un Français pour premier vainqueur

C’est d’ailleurs une légende du ski alpin qui s’était imposée ce jour-là. Savez-vous qui? «C’était un Français? Non, je ne sais pas. Si c’est un Français, ça devait probablement être Jean-Claude», tente Adrien Théaux. «Je ne sais absolument pas! Ah, c’était un Français? Jean-Claude?» se marre son coéquipier de l’équipe de France Guillermo Fayed. Jean-Claude? Jean-Claude Killy bien sûr.

Cinquante ans plus tard, reste-t-il un modèle pour la jeune génération française? «Oui, même si personnellement je n’ai jamais...

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