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Ils ne connaissent pas le frein à main

La descente de Garmisch-Partenkirchen, aujourd’hui, est la dernière avant les Jeux olympiques pour les messieurs. Comment l’aborder?

27 janv. 2018, 00:01
epa06475968 Mauro Caviezel of Switzerland in action during the second training for the Men's Downhill race of the FIS Alpine Skiing World Cup event in Garmisch-Partenkirchen, Germany, 26 January 2018.  EPA/LISI NIESNER GERMANY ALPINE SKIING WORLD CUP

La descente du Kandahar, à Garmisch-Partenkirchen, n’a pas bonne réputation. Le tracé est exigeant et la visibilité douteuse. «Ce n’est pas énorme d’un point de vue technique, mais c’est assez compliqué physiquement», analyse Adrien Théaux. «Il faut de l’engagement, même si ce n’est pas comparable à Kitzbühel. Et ce n’est pas évident d’envoyer, sur la partie finale, alors que tu es cramé. Nous essayons de ne pas être crispés mais la piste prend le dessus sur les intentions et finit par nous crisper...» L’année dernière, le Français Valentin Giraud Moine avait été victime d’un terrible accident (luxation des deux genoux) et aurait pu perdre l’usage de ses deux jambes. Il a recommencé à skier. L’Américain Steven Nyman, touché à un genou après une lourde chute, avait été contraint de mettre un terme à sa saison. Il a renoué avec la compétition juste avant Noël.

«Pourquoi ralentir?»

Les descendeurs disputent...

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