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Entre l’Asie et Zinal, des Valaisans sélectionnent des skieurs chinois en vue des JO de 2022

La Chine a commencé la sélection et le développement des skieurs qui pourraient défendre ses couleurs lors de «ses» Jeux olympiques d’hiver à Pékin en 2022. Une mission à laquelle prennent part plusieurs Valaisans. Entre l’Asie et Zinal.

31 janv. 2019, 05:30
La deuxième vague de sélection a lieu à Zinal. Yann Bouduban (en rouge) est notamment aidé dans sa tâche par Sandro Viletta, champion olympique du super-combiné de Sotchi en 2014.

La Chine. Sa Grande Muraille. Son industrie. Ses 1,4 milliard d’habitants. Parmi eux, des skieurs. Estimés aujourd’hui à 12 millions. C’est dans ce vivier que cette puissante nation choisira les plus performants, ceux qu’elle estimera comme les plus aptes à défendre ses couleurs dans l’une des disciplines de ski alpin lors des Jeux olympiques mis sur pied par Pékin en 2022.

A la recherche du Daniel Yule chinois

Si la Chine tient ses ambassadeurs et champions en gymnastique, en plongeon ou encore en natation aux Jeux olympiques d’été, tel n’est pas encore le cas, à l’exception du short-track, dans leur version hivernale. Pour les prochains Jeux d’hiver qu’elle organisera elle-même, la Chine ne compte toutefois pas s’en remettre à ses seuls patineurs de vitesse. Elle entend aussi être représentée dans d’autres disciplines. Dont le ski alpin. Le hic? Le Daniel Yule chinois n’existe pas encore. La bonne nouvelle? Il lui...

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