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Entraîneur de ski alpin: un job exigeant et passionnant

Être entraîneur de ski alpin n'est pas de tout repos. Coach des descendeurs suisses, Bertrand Dubuis exerce ce métier depuis 23 ans. Toujours avec la même passion.

05 avr. 2016, 17:01
/ Màj. le 06 avr. 2016 à 06:30
Bertrand Dubuis (à g.) est l'entraîneur des jeunes descendeurs de l'équipe de Suisse. Un métier qu'il exerce avec passion.

Le réveil sonne à 5h30. Le déjeuner précède l’échauffement, les reconnaissances et les courses jusqu’à la mi-journée. L’après-midi est dévolu est aux montages vidéo et aux analyses. La pression retombe à l’heure du souper avant une courte nuit de sommeil méritée vers 23 heures. La journée type d’un entraîneur de ski alpin n’est de loin pas de tout repos. «Ici, on ne compte pas les heures. Mais notre métier n’est aucunement éreintant. Nous ne faisons pas des sacrifices mais des investissements.»

Voilà désormais 23 années que Bertrand Dubuis, 43 ans cette année, vit sa passion sur les pistes de ski. Toujours avec le même rythme soutenu. «Notre travail demande tellement de flexibilité qu’il n’est pas conseillé de réserver un souper ou un mariage entre juillet et avril l’année d’après», sourit le Saviésan qui arpente le cirque blanc depuis huit années. Entraîneur de ski, un métier que beaucoup estimeraient de contraignant lorsque l’on passe son temps sur des skis à porter des piquets ou tracer des parcours aux aurores alors que le thermomètre s’inscrit le plus souvent sous le zéro. Et surtout, une profession exercée le plus souvent loin de la maison.

Retrouvez notre sujet complet dans nos éditions papier et numérique du mercredi 6 avril 2016.

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