Marius Robyr, venez-vous de vivre l’édition de Coupe du monde la plus compliquée en tant que responsable de l’organisation?
On a déjà connu une édition très difficile il y a quelques années avec 1,5 mètre de neige. Mais cette année, il est vrai que d’autres facteurs sont venus compliquer l’organisation de ces épreuves. Dans ces cas-là, il faut se montrer résolument optimiste, sans quoi vous abandonnez. On a eu les problèmes du coronavirus, de la météo et, pour couronner le tout, des courses sans spectateurs. Pour ces trois raisons, oui, je viens de vivre l’édition la plus compliquée.
Une édition qui, pour ne rien arranger, avait commencé par les critiques de Lara Gut-Behrami sur les conditions de neige.
Ce que je n’ai pas aimé dans son attitude, c’est le terme qu’elle a utilisé. Elle a le droit de venir, de dire que la piste ne lui plaît pas, que la...