La loi sur le sport avait été votée par le Grand Conseil sous l’ère de Claude Roch afin d’offrir notamment une base légale pour financer les grandes infrastructures sportives du canton. Sous l’ère d’Oskar Freysinger, rien n’a bougé. Mais moins d’une année après son entrée en fonction, Frédéric Favre a fait accepter la loi par le gouvernement avec un effet rétroactif au 1er janvier. «De cette manière, le projet de patinoire de Viège, qui a respecté tous les critères, pourra bénéficier d’une aide de l’Etat. Le contraire aurait été inique. Et un effet rétroactif de quatre mois ne pose pas de problème dans ce cadre», explique Frédéric Favre.
Uniquement pour les grandes infrastructures
Selon la loi, le soutien de l’Etat peut aller jusqu’à 30% du coût total admis. «Pour Viège, nous n’avons pas encore évoqué de montant. De toute manière, à partir de 4 millions, ce sera au Grand Conseil...