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Nico Hischier sous les drapeaux

Le hockeyeur valaisan de NHL a entamé son école de recrues pour sportifs d’élites à domicile il y a un mois. Depuis le début de la semaine dernière, il a rejoint Macolin.

16 mai 2020, 09:09
Nico Hischier, à droite, avec le champion grison de ski freestyle Andri Ragettli aussi présent à Macolin.

Nico Hischier a profité de la suspension de la saison de NHL pour revenir en Suisse. Le jeune valaisan en profite également pour effectuer son école de recrues pour sportifs d’élite.  Cette dernière a commencé le 14 avril chez lui à Naters. Depuis lundi dernier, l’attaquant des New Jersey Devils a rejoint Macolin. 

Comment avez-vous vécu ce 14 avril, quand vous avez dû entamer votre école de recrues pour sportifs d’élite à la maison? Qu’est-ce que cela a changé pour vous au quotidien? 

C’était vraiment quelque chose de spécial de commencer l’école de recrues à la maison, dans ce contexte tellement particulier. Cela n’a pas vraiment changé mon quotidien, si ce n’est que je devais suivre chaque jour en ligne des leçons sur des thèmes militaires.

 Cela n’a pas vraiment changé mon quotidien, si ce n’est que je devais suivre chaque jour en ligne des leçons sur des thèmes militaires.

Comment avez-vous continué à vous entraîner à la maison et avec quelles possibilités?

Je me suis entraîné à la maison avec mon frère Luca. Mon préparateur physique m’avait concocté un programme d’entraînement. Bien sûr, nous étions un peu limités dans nos possibilités d’entraînement mais mon frère et moi avions à la maison les principaux appareils dont nous avions besoin.

A côté de l’entraînement, aviez-vous aussi des «devoirs» à faire dans le cadre de l’école de recrues? En quoi consistaient-ils?

Nous devions suivre en ligne un grand nombre de leçons pour la formation militaire. Il fallait par exemple apprendre les différents grades de l’armée.

Lundi, vous avez fait vos premiers pas à l’école de recrues à Macolin. Comment vous sentiez-vous?

C’est quand même particulier de faire son service militaire dans ces conditions, avec toutes ces mesures de sécurité. Cela dit, j’ai été content de retrouver d’anciens camarades hockeyeurs à l’école de recrues.

 

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