Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Gérald Métroz: «Le hasard et la chance m’ont souvent tendu la main comme autant d’opportunités à saisir»

Gérald Métroz s’épanche librement dans un livre, «La vie d’en bas», où il raconte sa perception de la vie depuis son fauteuil roulant, un outil qui a définitivement remplacé ses prothèses voilà une vingtaine d’années.

07 nov. 2019, 18:00
Gérald Métroz a progressivement lâché ses prothèses pour ne plus se servir que de son fauteuil roulant. Il estime avoir gagné en liberté.

Quelques mois après avoir vendu sa société d’agent de joueurs, Third Eye Hockey, et pris sa retraite, Gérald Métroz, 57 ans, publie un livre où il raconte sa «vie d’en bas». Lui qui a longtemps porté des prothèses ne se déplace plus qu’en fauteuil depuis une vingtaine d’années.

A lire aussi: Gérald Métroz: «J’arrête le métier d’agent pour mener à bien deux projets personnels»


Gérald Métroz, pourquoi ce livre, plus intimiste que les autres, aujourd’hui?

En 2001, le livre «Soudain un train» de Jacques Briod était plus factuel. Il revenait longuement sur mon accident; il s’apparentait à une biographie. Celui-ci raconte davantage ma période en fauteuil puisque j’ai définitivement lâché les prothèses en 1998. Que m’a appris la vie dans cette position? D’où le titre, «La vie d’en bas». En résumé, c’est une rétrospective de ces vingt dernières années. Durant 35-40 ans, j’étais vraiment dans l’action. Depuis, je suis davantage...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias