Quelques mois après avoir vendu sa société d’agent de joueurs, Third Eye Hockey, et pris sa retraite, Gérald Métroz, 57 ans, publie un livre où il raconte sa «vie d’en bas». Lui qui a longtemps porté des prothèses ne se déplace plus qu’en fauteuil depuis une vingtaine d’années.
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Gérald Métroz, pourquoi ce livre, plus intimiste que les autres, aujourd’hui?
En 2001, le livre «Soudain un train» de Jacques Briod était plus factuel. Il revenait longuement sur mon accident; il s’apparentait à une biographie. Celui-ci raconte davantage ma période en fauteuil puisque j’ai définitivement lâché les prothèses en 1998. Que m’a appris la vie dans cette position? D’où le titre, «La vie d’en bas». En résumé, c’est une rétrospective de ces vingt dernières années. Durant 35-40 ans, j’étais vraiment dans l’action. Depuis, je suis davantage...