Un joueur - Sandro Moggi - oublié devant le but valaisan, un tir imparable pour Matthias Schoder, voilà à quoi a tenu le troisième acte de la finale. A rien du tout, donc. A plus forte raison que c'est Viège qui, durant la prolongation, s'était créé les meilleures chances de but. C'est lui qui aurait pu virer en tête à l'issue de cette troisième confrontation, guère moins électrique et passionnée que la précédente (77 minutes de pénalité). C'est lui qui aurait pu lever les bras si Andy Furrer, à bout portant et dans la même position que le Bernois quatre minutes plus tard, avait été aussi adroit. Ou si l'essai de Bernie Sigrist avait été mieux cadré de quelques centimètres. Ou si le duo Furrer-Annen, à deux contre un, avait pu aller au bout de ses intentions.
Deux fois plus de tirs au but pour Langnau
Certes, Viège ne fêtera...