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Hasek, l'inoxydable

C'est une légende qui garde les filets du Spartak Moscou. Rencontre avec un «jeune» de 46 ans...

27 déc. 2010, 05:01

Dominik Hasek, la Coupe Spengler ne vous est pas inconnue...

J'ai disputé la Coupe Spengler en 1987 avec Pardubice. J'en garde un souvenir assez vague, mais je me rappelle que l'on n'avait pas atteint la finale, que j'avais été désigné meilleur gardien du tournoi et... qu'il n'y avait pas de neige à Davos!

Vous aviez alors 22 ans. A cette époque, avez-vous imaginé que vingt-trois ans plus tard, vous seriez toujours là?

Oh non! Je n'ai jamais pensé jouer aussi longtemps. En 1987, j'étais encore au collège et le hockey me servait à gagner un peu d'argent. J'évoluais déjà en équipe nationale et je savourais ces instants. A cet âge, on ne réfléchit pas trop. Je n'avais pas de plans.

Aujourd'hui, après deux décennies passées en NHL, vous ne suez plus pour l'argent. Qu'est-ce qui vous pousse?

Simplement l'amour du hockey. Je me suis retiré à deux reprises, en 2002...

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