Après l’émotion, la gestion. Sur le papier, telle était la mission de l’équipe de Suisse, à qui il manquait un seul point, avant la rencontre, pour filer en huitièmes de finale. Dans les faits, c’est un autre scénario, moins tranquille, dont a été témoin le Nijni Novgorod Stadium hier soir. Si à la fin, la Suisse a assuré sa qualification pour les huitièmes de finale, son futur adversaire, mardi prochain à Saint-Pétersbourg (16 h), la Suède, a sans doute noté que la Suisse a pris la très mauvaise habitude d’entrer dans ses matchs avec une demi-heure de retard. Un outrage à la ponctualité helvétique que le Brésil et la Serbie avaient sanctionné d’un but.
Cette fois, l’escouade de Vladimir Petkovic a pu compter sur l’excellent Yann Sommer (lire ci-dessous) en plus de sa bonne étoile pour ne pas plier en premier. Dix minutes n’étaient pas encore écoulées que les...