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Mondial 2018: Yann Sommer, à la veille de Suisse-Lettonie: «C’est que l’équipe nationale qui compte»

A la veille du match Suisse-Lettonie, Yann Sommer et Admir Mehmedi ont dit quelques mots avant l’entraînement. "Quand on vient en équipe nationale, on laisse de côté tout le reste, les problèmes mais aussi les satisfactions."

24 mars 2017, 19:49
"Non, nous ne parlons pas vraiment des problèmes des uns et des autres en club", insiste Yann Sommer.

En équipe nationale, les problèmes en club ne comptent pas. C'est ce qu'ont martelé Vladimir Petkovic, Yann Sommer et Admir Mehmedi à la veille de Suisse - Lettonie en éliminatoires du Mondial 2018.

"Non, nous ne parlons pas vraiment des problèmes des uns et des autres en club, insiste Yann Sommer. Quand on vient en équipe nationale, on laisse de côté tout le reste, les problèmes mais aussi les satisfactions. Bien sûr, il y a des échanges entre nous, mais rien de très important. Venir en sélection, être dans un autre environnement, avoir d'autres objectifs, ça fait du bien à tout le monde."

Admir Mehmedi - qui contrairement à Sommer traverse justement une période délicate à Leverkusen - abonde dans le même sens. "Nous évoluons dans des clubs où la concurrence est féroce, où il y a beaucoup de joueurs qui veulent tous la même chose: jouer. Mais je ne crois pas que nos situations soient un problème. Sans doute les médias exagèrent-ils à ce sujet. Ce n'est pas un phénomène nouveau et, à chaque fois, les joueurs censés être en difficulté ont livré la marchandise avec l'équipe nationale."

"Un esprit de corps"

Problème ou pas, Vladimir Petkovic s'est pour sa part félicité de "n'avoir rien remarqué" durant la semaine. "Tout le monde était prêt et tout le monde le sera pour samedi. J'ai ressenti un esprit de corps, une unité, et j'espère que nous serons récompensés pour tout cela face à la Lettonie."

"Nous nous sommes très bien entraînés, confirme Mehmedi. C'était intense, tout le monde était pleinement concentré." Cela tombe bien car la Suisse doit gagner samedi pour conserver une petite marge de manoeuvre dans cette campagne jusqu'ici parfaite du point de vue des résultats. "L'important est de gagner, pas de savoir comment nous le ferons ou combien de buts nous marquerons, rappelle Mehmedi. Même s'il est clair que nous devons être plus efficaces que contre Andorre et les Iles Féroé (NDLR: 2-1 et 2-0)."

 

 

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