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«Les dernières minutes, c'est la guerre»

Didier Tholot déplore le manque de détermination à l'approche du coup de sifflet final. Grasshopper, Lucerne et Bâle en ont déjà profité.

28 juil. 2009, 05:02

Alexander Frei succède à Nassim Ben Khalifa et à Cristian Ianu. Le Bâlois marque contre Sion dans les dernières minutes de jeu. Comme l'avait fait l'attaquant de Grasshopper lors de la première journée, puis celui de Lucerne mercredi. L'impact de cette réussite tardive fait la différence. Frei prive la formation valaisanne d'un point. Ben Khalifa et Ianu n'avaient pas influencé la répartition de l'enjeu entre les deux formations. «C'est dur et surtout très frustrant de s'incliner sur une telle action», avoue Didier Tholot. «Les dernières minutes, c'est la guerre. Nous avons manqué de détermination. Nous nous retrouvons les mains vides alors qu'un match nul contre Bâle nous aurait permis d'entretenir une dynamique positive. Nous cédons sur les deux actions que Bâle développe jusqu'au bout en nonante minutes. Je veux bien prendre des buts si nous sommes balayés et dominés, mais pas les enchaîner sur des erreurs bêtes et sur des...

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