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Le ballon rond vit des transferts

Le football est le seul sport qui se nourrit, au propre comme au figuré, au travers de sommes de transferts de plus en plus délirantes. Le système serait pourtant assez juste.

05 sept. 2017, 23:37
/ Màj. le 06 sept. 2017 à 00:01
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Le chiffre a de quoi laisser pantois. 4,8 milliards, c’est le montant dépensé au sein des cinq principaux championnats européens – Angleterre, Espagne, Allemagne, Italie et France – sur le marché des transferts. La Premier League n’avait même pas attendu la fin du mercato pour battre son record de dépenses. La veille, elle avait déjà déboursé 1,6 milliard contre 1,3 milliard une année plus tôt.

Les transferts assortis de tels montants, deux fois par année, c’est une spécificité propre au football. Quasi exclusive. Avant de savoir si ce «business» est juste ou pas, il convient de savoir pourquoi il est propre au gazon. «Parce que le foot draine bien plus d’argent que les autres sports, c’est aussi simple que ça», coupe Michel Urscheler, agent de joueurs valaisan.

Il est régi par le principe de l’offre et de la demande. Neymar – 250 millions de francs – a coûté très...

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