Mi-juin, morne plaine, les rectangles verts ne sont plus tendus, à la brasserie de la Poste, plus de controverses, de débats passionnés sur la VAR, la qualification de l’Atalanta ou les problèmes du Milan AC! Bref la vie s’arrête. Les footeux subissent une détox, un sevrage non consenti. Ils cherchent en vain une chaîne qui diffuserait une rencontre peu probable; ce temps n’a plus de saveur comme des pâtes à la truffe… sans truffe, comme une musique sans note! Au mieux, on peut survivre avec quelques rumeurs de transferts, de spéculations sur les changements d’entraîneurs. Le temps s’arrête, tel une montre suisse mécanique compliquée qu’on laisserait reposer sans la remonter un mois durant. Chez les drogués du ballon, le manque se fait cruellement sentir!
«Le foot féminin a non seulement progressé, mais qu’il offre un spectacle attractif et vivant.»
Heureusement, la FIFA, à l’écoute des besoins du monde footballistique, nous...