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L'affaire Constantin se trouve "en haut" de la liste des priorités de la commission de discipline de la ligue

La commission de discipline de la Swiss Football League entend régler l'affaire Constantin le plus rapidement possible. Ce serait même une des priorités du président de ladite commission, Daniele Moro.

27 sept. 2017, 13:22
Christian Constantin s'est excusé en tant que président, pas en tant qu'homme et papa...

L'"affaire Constantin", entre les mains de la commission de discipline de la Swiss Football League (SFL), se trouve "tout en haut" de la liste des priorités, déclare le président de ladite commission, Daniele Moro.

L'ancien joueur professionnel tessinois a précisé au "Blick" que les deux parties ont jusqu'à (ce) mercredi pour donner leur version des faits.

A voir aussi: l'interview croisée des présidents Joseph et Constantin avant Sion Lausanne

Sion joue ce mercredi en Super League à Lausanne, mais n'est pas sur la brèche le week-end prochain. La commission de la SFL veut profiter dans la foulée de la pause dévolue à l'équipe nationale pour traiter l'affaire rapidement. Daniele Moro ne donne indication sur la durée des éventuelles sanctions.

Outre le président Christian Constantin, le "Blick" révèle que le fils de l'homme fort du club, Barthélémy Constantin (22 ans), directeur sportif du FC Sion, est aussi dans le viseur de la commission.

Il aurait saisi au col le consultant de Teleclub Rolf Fringer et lui aurait crié: "Si tu dis encore quelque chose contre ma famille, je te juste que je te tue!", selon Teleclub.

Ces faits se sont produits lors du match de Super League contre Lugano gagné 2-1 au Tessin jeudi dernier par les Sédunois. A la fois du match, échaudé par une série de remarques de Rolf Fringer qui avait notamment critiqué son "narcissisme" sur le plateau de Teleclub, Christian Constantin avait bondi sur l'ancien sélectionneur national pour lui donner plusieurs gifles et coups de pied.

Le président du FC Sion ne s'est pas excusé personnellement pour ses gestes auprès de M. Fringer en estimant qu'il ne pouvait pas rester sans réagir.

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