La Super League, cette compétition imaginée et lancée par et pour les riches – douze clubs anglais, espagnols et italiens – fâche à peu près tout le monde sur la planète foot. Les instances dirigeantes, bien sûr. Les fédérations nationales, aussi. Les techniciens et les anciens joueurs, encore. Même les supporters des clubs concernés ne sont pas en reste. Eux aussi désapprouvent, au mieux, critiquent, au pire, ce projet qui «pue» trop l’argent et les intérêts financiers pour être honnête. «Ce foot «business», c’est de pire en pire», déplore Eric Lagger, fan de la Juventus. «C’est désespérant de voir des clubs historiques s’embarquer dans de tels scénarios.»
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