Didier Tholot et le FC Sion vivent une relation intense. Ils unissent leur destin à quatre reprises entre 1997 et 2015. Toutes ces unions s’inscrivent sur le mode du «je t’aime, moi non plus». De l’entente parfaite à la rupture sans concession, les épisodes comprennent un échec en éliminatoire de la Ligue des champions, une première journée de championnat disputée le 29 octobre et des victoires en Coupe de Suisse. Successivement joueur, entraîneur joueur, puis simplement entraîneur, le Français garde d’une enfance vécue près de Saint-Etienne un caractère forgé sur les valeurs du travail. Elles l’ont toujours guidé dans son engagement sur le terrain ou sur le banc de touche. A Sion, à Châteauroux ou à Nancy. En pleine phase d’installation dans la région de Bordeaux, il suivra la performance du FC Sion devant son poste de télévision. Il livre auparavant ses impressions sédunoises.
Aviez-vous imaginé vivre autant de moments...