Bruno Pascale est un entraîneur heureux. L'ancien coach des jeunes au FC Sion, assistant de Peter Zeidler à la tête de la première équipe, s'est longuement épanché dans «L'Est républicain" sur son rôle et le coach allemand. Le Valaisan est également revenu sur la finale de la Coupe de Suisse que le duo n'a pas eu l'occasion de vivre. «Nous avons réussi à porter un projet même si on ne nous a pas donné l'occasion de disputer la finale de la Coupe de Suisse et de terminer le championnat. On nous a fait «trinquer» alors qu'on était deuxièmes. L'impatience du président de Sion, sa personnalité, ça ne pouvait pas aller avec Peter Zeidler.»
Bien qu'écarté de la première équipe en même temps que le technicien allemand, Bruno Pascale est resté fidèle à Peter Zeidler. «Il avait mon accord pour poursuivre notre collaboration sans savoir où il allait signer.»
Le duo s'est alors retrouvé à la tête du FC Sochaux, en France. «Il y a une complémentarité entre nos deux personnalités, poursuit l'entraîneur valaisan. C'est lui le décideur, mais je ne suis pas passif. Ce projet, je l'ai assimilé, je l'enrichis.»