«La plus jolie, c'est la skip norvégienne». «Non, je préfère la Russe.» «Et vous avez vu le regard de Carmen Schäffer?» Des commentaires entendus maintes fois cette semaine au Palladium de Champéry. Le spectateur masculin ne se régale pas seulement devant les exploits des curleuses européennes, mais également devant leurs jolis minois. Il faut bien avouer qu'il n'y a que l'embarras du choix. Linn Githmark pour la Norvège, Ludmila Privivkova et Anna Sidorova pour la Russie, Eve Muirhead pour l'Ecosse, etc, et bien sûr l'incontournable Carmen Schäffer, véritable icône du curling helvétique.
Aux Jeux de Vancouver déjà, la Grisonne de 29 ans a fait fondre le coeur des spectateurs et téléspectateurs. La «Schäffer mania» se poursuit du côté de Champéry. «Bien sûr que les jolies filles aident à promouvoir le curling et à réaliser des audiences télévisuelles record. Les gens ne s'intéressent pas qu'aux résultats», souligne Patrick Lörtscher, consultant à...