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De l'ombre à la lumière...

Cadel Evans était, au mieux, considéré comme le troisième homme. Au pire comme un éternel "poissard". En cinq jours, l'Australien a marqué de gros points.

07 juil. 2011, 05:02

L'ombre, Cadel Evans connaît. A force de collectionner les deuxièmes places - deux fois sur le Tour, quatre fois sur le Dauphiné - en même temps que les maillots - six jours en jaune sur le Tour, deux sur le Giro et un à la Vuelta - et de flirter avec le bonheur, il était considéré, au mieux, comme le troisième homme. Un outsider que seule la défaillance de l'un des deux favoris, idéalement des deux, pouvait propulser dans la lumière. Or, depuis cinq jours, c'est son seul talent qui en fait un prétendant sérieux. Et non plus un hypothétique vainqueur, un favori de substitution. En cinq jours, l'Australien a gagné du galon au point qu'Alberto Contador, au soir du contre-la-montre par équipes, l'a désigné comme le nouveau favori du Tour. D'autres ne sont pas loin de lui emboîter la roue.

CE QUI PLAIDE POUR LUI...

Sa position, d'abord. Cadel...

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