Florence Darbellay et le Grand Raid, c’est une histoire d’amour sans fin. Une histoire passionnée où les victoires commencent gentiment à supplanter les déconvenues. Et c’est cette histoire que la Martigneraine, établie à Neuchâtel, a continué d’écrire samedi entre Nendaz et Grimentz.
Déjà victorieuse en 2011 et 2012 depuis Hérémence, puis sacrée en 2017 depuis Verbier, la quadragénaire s’est offert un nouveau titre sur le Grand Raid. «Terminer au deuxième rang aujourd’hui aurait eu la saveur d’une défaite», lâche d’entrée celle qui était considérée comme la grande favorite sur ce tracé long de 93 kilomètres. «Je savais très bien ce que je venais chercher sur ce parcours.»
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La victoire sinon rien
D’ailleurs, la Bas-Valaisanne a assez rapidement mis toute la concurrence dans le dur. À Hérémence déjà, elle comptait six minutes d’avance sur...