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Une icône restée très authentique

L’héritier de la jeep du débarquement fait toujours son petit effet sur les boulevards, mais c’est surtout un dur à cuire en tout-terrain. Essai de la version diesel.

15 mars 2018, 00:01
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Sa silhouette impossible à confondre, son capot plat et sa calandre à barres verticales encadrée par des phares ronds sont inscrits dans l’imaginaire collectif depuis le débarquement de Normandie, le 6 juin 1944. La Jeep CJ, devenue le Wrangler en 1987, n’a certes pas cessé d’évoluer et de voir ses épaules s’élargir au fil du temps. Elle est cependant toujours restée fidèle à ce concept de base et à ces signes distinctifs qui en ont fait une icône. Et l’absorption du constructeur américain par le groupe Fiat n’y a heureusement rien changé.

Pas gourmand, le turbodiesel!

Le Wrangler mis à disposition par l’importateur était une version 2 portes Rubicon (la plus richement dotée), animée par un gros turbodiesel de 200 ch. Ce quatre cylindres à autoallumage est certes moins glamour que l’onctueux V6 de 3,6 litres pour épater la galerie, mais le premier arrêt à la pompe permet déjà...

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