De deux choses l’une. Soit Tadej Pogacar est un peu moins fort, moins dominateur que dans les Alpes. Soit il est suffisamment malin pour ne pas en faire trop. Qu’importe, finalement. Au-delà de ces considérations bien accessoires, le Tour lui étant de toute façon promis, le Slovène reste le meilleur des prétendants, par ailleurs de moins en moins nombreux.
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Dans l’ascension du col de Portet, il a tout fait. D’abord, il a invité ses équipiers à rouler. Dès le moment où Rafal Majka s’est écarté, à 8,5 km de l’arrivée, il a accéléré pour tester ses rivaux. Il a ensuite contré les attaques, pas très méchantes non plus, de Jonas Vingegaard. Il a relayé avec le Danois avant de contrer Richard Carapaz qui a eu l’outrecuidance d’attaquer à 1,4 km après avoir...