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Le bon allemand est tout sauf boudé

Selon une étude, les Alémaniques ne rechignent pas autant qu’on le croit a parler la langue de Goethe.

02 oct. 2017, 23:40
/ Màj. le 03 oct. 2017 à 00:01
Der pensionierte Seminarlehrer und Germanist Alfred Egli unterrichtet im Zuerichdeutschkurs fuer Fortgeschrittene, am 5. Juli 2010 in einem Schulzimmer an der Kantonsschule Hottingen in Zuerich. Der "Zueritueuetschkurs" des Vereins Schweizerdeutsch richtet sich an Personen mit guten Deutschkenntnissen, die den lokalen Dialekt besser verstehen und sprechen wollen. (KEYSTONE/Gaetan Bally) === NO SALES, NO ARCHIVES === BILDPAKET ZUERITUEUETSCHKURS

Malgré ce que pensent parfois les Romands, le bon allemand est pratiqué dans toute la Suisse alémanique, et cela à haute dose. C’est ce qui ressort d’une étude, première du genre, sur la place de l’allemand et du suisse allemand en Suisse, publiée hier par l’Office fédéral de la statistique (OFS). Elle montre aussi que le dialecte s’impose même chez les personnes qui ne le parlent pas dans leur enfance.

Réalisée en 2014 auprès de quelque 16 500 personnes, l’analyse des données de l’enquête sur la langue, la religion et la culture fournit des données plus précises que les précédents recensements sur la pratique du suisse allemand et du «bon» allemand, dit aussi allemand «standard», en Suisse. Si elle confirme certaines connaissances, par exemple le poids de l’allemand – sous toutes ses formes – au Tessin (où il est parlé par 35% de la population, contre 21% en Suisse...

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