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La montagne décisive, vraiment?

Aujourd’hui, les grimpeurs pourront enfin se dégourdir les jambes jusqu’à Leysin pour l’étape reine, sur le papier. Mais le général devrait se jouer à Lausanne, dimanche, lors du contre-la-montre.

28 avr. 2017, 23:25 / Màj. le 29 avr. 2017 à 00:01
Sebastien Reichenbach from Switzerland of team FDJ, 4th from right, in action with the pack rides during the first stage, a 173.3 km race between Aigle and Champery at the 71th Tour de Romandie UCI ProTour cycling race in Troistorrents, Switzerland, Wednesday, April 26, 2017. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SWITZERLAND CYCLING TOUR DE ROMANDIE

Quand bien même, sur le papier, le menu était alléchant avec deux arrivées en altitude et quatorze cols répertoriés, rien ne dit que c’est la montagne qui désignera le vainqueur du Tour de Romandie. Parce que le terrain, lui, est moins ragoûtant pour les purs grimpeurs. D’ailleurs, il n’est pas certain qu’ils puissent exploiter l’étape reine de Leysin, aujourd’hui, pour refroidir les rouleurs avant le contre-la-montre. Certes, il y a 2855 mètres de dénivelé et quatre côtes – le Jaunpass et le Pillon notamment – concentrées dans les septante derniers kilomètres. Mais la «grande» bagarre risque bien de se limiter aux six derniers kilomètres, à partir du Sépey. Partant de là, les écarts pourraient bien se réduire à quelques secondes «volées» à leurs adversaires. «Ils ne seront pas très importants, pronostique Sébastien Reichenbach. A Champéry, nous étions soixante pour le sprint. A Leysin, il n’est pas exclu de voir une...

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