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Cyclisme: Simon Pellaud termine troisième en France et prend le maillot de leader

Simon Pellaud a peut-être fait le plus difficile dans l’optique du classement général du Tour de la Mirabelle (UCI 2.2), en France. Troisième de la troisième étape, il occupe le maillot de leader à la veille de la dernière étape.

01 juin 2019, 18:19
Simon Pellaud est en jaune.

Simon Pellaud (IAM Excelsior) est bien parti pour remporter le Tour de la Mirabelle, une épreuve UCI 2.2 en France. Déjà bien placé au général après les deux premières demi-étapes, il s’est classé troisième, samedi, de l’étape reine entre Epinal et Geradmer, laquelle comprenait six difficultés. Ce rang lui permet d’endosser le maillot de leader à la veille de la dernière étape, laquelle ne comporte pas de grosses côtes.

Dans un premier temps, le Martignerain a laissé filer une échappée d’une dizaine de coureurs. Dans les derniers kilomètres, alors que le groupe des favoris ne comprenait plus beaucoup de coureurs, il est parti en contre-attaque. S’il n’est pas parvenu à reprendre les échappés, il s’est toutefois classé troisième de cette étape, un classement qui lui permet de voir la vie en jaune à 24 heures de l’arrivée. Il a concédé 58 secondes à Daniel Paerson, un Britannique, vainqueur de cette étape. Il a précédé les autres favoris d’une petite dizaine de secondes. 

Neuf secondes à gérer

Au général, Simon Pellaud possède 9 secondes d’avance sur le Belge Jordy Bouts et 14 secondes sur l’Italien Matteo Busato. Daniel Paerson est à 15 secondes. Autant écrire que tout reste à faire, dimanche, entre Chateheux et Damelevières, 180 km d’un parcours qui ne comprend que trois difficultés: deux côtes de 4e catégorie et une côte de 2e catégorie. La dernière bosse se trouve à quelque 60 km de l’arrivée. Autant écrire que le Valaisan de IAM Excelsior a de bonnes chances de conserver sa tunique. «J’ai profité d’un super travail de l’équipe», apprécie Simon Pellaud. «Maintenant, il va falloir trouver des alliés parce qu’à quatre, ce n’est pas évident de contrôler la course. Heureusement, il y a désormais beaucoup moins d’adversaires à surveiller.»

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