Certes, il s’est retrouvé à rouler pour défendre le maillot, inattendu, d’Attila Valter, son coéquipier, lors de la première étape de montagne dimanche. Sébastien Reichenbach bénéficiera de toute la liberté voulue, ces prochains jours, pour tenter sa chance et jouer une victoire d’étape. Il en est capable.
Sa condition après dix jours
Sébastien Reichenbach voulait profiter de la première semaine pour monter en puissance. Le point positif, déjà, c’est qu’il n’a pas eu le moindre pépin physique ou mécanique. «J’ai pu éviter les chutes, à l’instar de mes coéquipiers. Par contre, les conditions climatiques difficiles ont passablement fatigué le peloton. A titre personnel, je n’apprécie pas trop la pluie et le froid. J’ai retrouvé de meilleures sensations à partir de dimanche. Jusque-là, je n’ai pas laissé trop de forces. Le Giro ne fait toutefois que commencer. Les grandes étapes de montagne vont arriver d’ici peu.»