Le sacre d’Elfic, qui avait perdu ses cinq premières finales de Coupe, dont celles des trois précédentes éditions, est historique. «Ces défaites subies en finale étaient bien présentes dans nos têtes. Et une finale de Coupe reste quelque chose d’irrationnel», a glissé Laurent Plassard, en poste depuis le début de la saison. «Mais nous, les nouveaux et les nouvelles, n’avons pas connu ses déboires du passé. Marielle Giroud a tout gagné (ndlr: sous le maillot d’Hélios qu’elle portait encore la saison dernière), et Noémie Mayombo (ndlr: internationale belge) connaît le très haut niveau», a-t-il poursuivi.
«On a senti le stress et l’anxiété chez les joueuses qui étaient déjà présentes l’an passé. On a su les aider», a souligné pour sa part Noémie Mayombo. «Nous sommes une nouvelle équipe, avec un nouveau coach», a relevé Marielle Giroud (20 points, 8 rebonds et 5 passes décisives samedi). «Nous avons amené de...