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«Je ne crois pas qu’il y ait de bons ou de mauvais moments pour affronter Fribourg», Patrick Pembele, entraîneur du BBC Monthey-Chablais

Samedi, le BBC Monthey-Chablais se déplace à Saint-Léonard pour y affronter Olympic, un club qu’il n’a plus fait chuter depuis une éternité.

12 oct. 2019, 08:00
Patrick Pembele et ses hommes s'apprêtent à affronter le champion de Suisse en titre.

Deux saisons et demie, huit confrontations directes ou 978 jours; qu’on le tourne d’une manière ou d’une autre, cela fait une éternité que le BBC Monthey-Chablais n’a plus fait chuter Fribourg Olympic. Sa dernière victoire remonte d’ailleurs au 2 février 2017 lors de la finale de la Coupe de la ligue remportée par Jonathan Dubas, Jordan Heath et consorts sur un score de 71 à 85.

Depuis, les Chablaisiens n’ont fait qu’enchaîner les défaites – parfois même les claques – face aux Fribourgeois. Présent sur le banc des jaune et vert pour la quatrième saison de rang, Patrick Pembele n’a ainsi jamais ressenti la chaleur de la victoire face au champion de Suisse en titre.

«Honnêtement, je ne crois pas qu’il y ait de bons ou de mauvais moments pour les affronter dans une saison», concède le coach des Montheysans. Le BBC Monthey-Chablais se déplacera pourtant à Saint-Léonard, samedi à 17 h 30, avec une certaine dose de confiance; lui qui vient d’enchaîner trois succès de rang, entre le championnat et la Coupe suisse. «J’espère que l’on pourra proposer notre basket, avec une identité défensive et du réalisme en contre. Si nous commençons à courir dans tous les sens, tout pourrait s’effondrer rapidement.» 

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Un groupe sous la loupe

Pour la première fois de cette toute jeune saison, les Sangliers se préparent à être «dominés athlétiquement et physiquement». «Jusqu’à maintenant, nous sommes parvenus à plier nos matchs d’entrée. Là, ce sera à nous de nous accrocher.»

Et donc, d’être confronté à une véritable adversité et une potentielle première défaite. «Ce qui m’intéresse sera notre réaction en tant que groupe. Voir comment l’équipe se comporte quand elle est menée. Est-ce qu’elle saura resserrer les rangs ou est-ce qu’elle laissera la marque s’alourdir?» Patrick Pembele aura sa réponse samedi aux alentours de 19 h 30. 


 

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