Six semaines après ses débuts chez les professionnels – une victoire aux points face à l’Italien Enache Ovidiu –, Benoît Huber remonte sur le ring. A Martigny, toujours. Le Sédunois, 31 ans, affronte un autre néoprofessionnel. Mais Predag Stojilkovic est bien plus jeune: 24 ans. Il ne compte que trois combats, un nul pour deux défaites. «Je ne sais pas grand-chose de lui», reconnaît-il. «Mon entraîneur a vu des images sur l’internet. De mon côté, j’attendrai samedi pour voir quelques images. Je ne veux pas me faire un mauvais film trop tôt. Il n’a pas beaucoup plus d’expérience que moi. Il lui arrive d’entamer ses matchs à fond avant de connaître des coups de pompe. Je devrai faire très attention au début afin d’éviter de commettre une erreur et de prendre un mauvais coup. Je me dis que ça devrait passer.»
Un adversaire qui entame bien ses combats
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