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Triathlon: ils courent, au propre comme au figuré, du matin au soir

Huit Valaisans disputeront les Mondiaux à Lausanne, samedi et dimanche. Entre vie professionnelle et vie familiale, ils tentent de caser quelque vingt heures d’entraînement durant la semaine.

29 août 2019, 10:00
Vincent Rochat, Valérie Dirren, Nicolas Galliano, Mariana Solorzano et Nicolas Debons, cinq des huit triathlètes valaisans qui disputeront les Mondiaux à Lausanne ce week-end.

Ce n’est pas tout d’accumuler des dizaines de kilomètres dans l’eau, à vélo et en basket. Il faut surtout investir beaucoup de temps, des heures et des heures d’entraînement, afin d’être prêt le jour J. Le triathlon est un sport exigeant. Il requiert aussi une organisation quasi spartiate afin de gérer vie professionnelle, vie familiale et son sport. «C’est vrai qu’on court du matin au soir», sourit Vincent Rochat, membre du comité du Triathlon Club Valais et l’un des huit Valaisans qualifiés et inscrits aux Mondiaux de Lausanne, samedi et dimanche. «On réduit ou on sacrifie la pause de midi pour nous entraîner», embraient ses collègues. «Le but, c’est de finir notre journée de travail le plus tôt possible afin d’enfiler notre combinaison.»

«Il nous arrive aussi de monter sur notre vélo de spinning, dans le garage, de 23 heures à 1 heure du matin», sourit Nicolas Debons, en couple...

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