De Sophie Clivaz, longtemps, on n’avait droit qu’à une main, au mieux un bras, sur nos écrans de télévision, au terme des courses de ski. Elle réalisait alors, entre autres tâches, les interviews du vainqueur de l’épreuve masculine sur le cirque blanc pour toutes les chaînes du monde. En anglais, of course. «Sauf pour Beat Feuz qui ne maîtrisait pas trop cette langue», se marre-t-elle encore. «Après quelques instants de flottement, j’ai donc assuré la traduction instantanée de l’allemand à l’anglais.»
Un hiver, je n’ai passé que sept jours à la maison. La Coupe du monde de ski, ce n’est pas aussi glamour qu’on peut le penser.
Sophie Clivaz, responsable de la communication à Crans-Montana Tourisme
Coordinatrice média pour la FIS, durant quatre saisons, l’enfant de Randogne et du Haut-Plateau a eu droit à de nombreuses heures cumulées, de direct, sans jamais apparaître véritablement à l’écran. Intégralement, tout au...