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Quand la lumière, pour certains sportifs, ne s'allume que tous les quatre ans...

Théo Gmür, triple champion paralympique à PyeongChang, est l'incarnation même de ces sportifs à la gloire éphémère que l'on adule et met en lumière qu'une fois tous les quatre ans. Alors que leur investissement ne faiblit pas d'une saison à l'autre. La chronique de Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

26 mars 2018, 19:00
Christophe Spahr, journaliste au Nouvelliste.

Le hockey valaisan doit surfer sur sa cote de popularité

Trois mille spectateurs à Sierre, en quatrième division, un bon millier à Martigny, en cinquième division, près de 400 spectateurs pour un match de novices, qui ne concerne généralement que les parents de ces jeunes, le constat est là. Le hockey est populaire en Valais. Ce n’est pas un scoop, on vous l’accorde. Voilà qui doit toutefois inciter, plus que jamais, les dirigeants à concrétiser une fois pour toutes les projets à l’échelle du canton afin de profiter de cet élan plutôt que de jouer à la surenchère, d’une patinoire à l’autre, en termes d’affluence. Ce combat-là est stérile. Les joueurs ont fait le job, sur la glace. Aux dirigeants, désormais, à leur emboîter le pas.

Hockey: le perdant de la finale était plutôt lucide

Fabrice Dessarzin, l’entraîneur de Franches-Montagnes, était plutôt beau joueur sur l’antenne de Canal Alpha. Lui...

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