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Philippe Germanier, président de l’Association valaisanne de lutte suisse: «Il a toujours fallu travailler dans l’urgence»

Président de l’Association valaisanne, Philippe Germanier revient sur cette «annus horribilis» qui a marqué le microcosme de la sciure et de la culotte courte. Il oscille entre espoir et amertume.

21 sept. 2020, 12:10
Le président se dit confiant pour l’avenir.

Contrairement à d’autres sports qui ont pu reprendre des activités un tant soit peu «normales», la lutte suisse – dont la saison aurait dû se terminer à pareille époque – a vécu un millésime 2020 totalement blanc. En Valais comme ailleurs, la frustration est à la hauteur des attentes qui précédaient cette crise sanitaire et ces annulations en cascade. Le point avec le président de l’AVLS, l’Association valaisanne de lutte suisse.

Philippe Germanier, quel regard portez-vous sur cette année blanche?

Un regard un peu triste, forcément. Après une Fête fédérale (ndlr: la dernière s’est tenue à Zoug en 2019), on remarque toujours une augmentation du nombre de jeunes lutteurs. Cette émulation ne s’est pas produite cette année. Difficile, aussi, de gérer une association cantonale dans ces circonstances. Il a toujours fallu travailler dans l’urgence: pas de séances de comité possibles «physiquement», annulations des fêtes, pas d’entraînements. Et le même souci...

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