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Les ravitailleurs, pièces essentielles du puzzle des ultratrailers du SwissPeaks

Sans les ravitailleurs, les ultratrailers n’arriveraient pas à avaler autant de kilomètres. Rencontre avec quelques-uns d’entre eux à la base de vie de Grimentz où le SwissPeaks est passé mercredi matin.

03 sept. 2020, 05:30
Roland Barbezat est prêt à repartir pour son périple. L'heure est aux encouragements et conseils avec ses parents, Daisy et Roland.

On dit d’eux qu’ils sont seuls. Qu’ils partent, le temps de plusieurs dizaines – voir centaines – de kilomètres, pour un long voyage solitaire. Bien sûr, les ultratrailers sont seuls à tutoyer les sommets, à souffrir dans leurs baskets, à ressentir la fatigue les gagner au fil de leur avancée, à plonger dans des instants euphoriques où la déprime guette.

Dans leur chevauchée solitaire, ils sont pourtant plus que jamais accompagnés. Que ce soit par des amis. Leur famille. Leurs enfants. Qui, au cours de leur effort, les suivent et les ravitaillent. En fait, les ultratrailers et les ravitailleurs ne font qu’un. «Ils sont l’une des pièces essentielles du puzzle complexe qu’est cette aventure. Ils me connaissent par cœur, me motivent, me comprennent, rigolent avec moi», explique Florian Vieux, participant du parcours de 170 kilomètres du SwissPeaks Trail.

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