Nous avions laissé David Fournier sur les rives du Bouveret, le 2 août 2020. Exténué, mais heureux, le Nendard venait de réussir sa traversée du canton. Parti du glacier du Rhône au pas de course la veille à midi, le sportif de l’extrême venait d’affronter 175 km de bitume et plus de trente et une heures d’effort, prenant sa revanche après son échec de 2019.
Depuis, David Fournier s’est accordé deux jours de repos. «Les deux qui ont suivi mon défi», se marre-t-il. «Mais après ça, j’ai couru tous les jours.» Et cet entraînement quotidien, sous le soleil, la pluie ou la neige, a fait germer l’idée d’un nouveau défi, dans un esprit plutôt fertile dans ce genre d’exercices.
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