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La passion, mais pas à n'importe quel prix

Dans la capitale sédunoise, amateurs et pros se côtoient dans un sport qui tend à se démocratiser. Toutefois, tous les cavaliers ne sont pas logés à la même enseigne pécuniaire.

08 sept. 2015, 17:04
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Dans le sport comme dans la vie, les clichés sont tenaces. L'imaginaire populaire associera certaines pratiques à une couche sociale exclusivement. Lorsque l'on évoque le monde équestre, le commun des mortels le pensera inaccessible car inabordable financièrement par lant. "C'est faux, ce sont des préjugés", rétorque Daniel Decleyre, président de la Société des cavaliers valaisans (SCV). "Aujourd'hui, au même titre que le golf ou le tennis, l'équitation est tout à fait abordable et même davantage que le ski." On se saurait lui donner tort lorsque l'on songe qu'une leçon d'une heure avec un professionnel se monnaie entre 25 et 35 francs pour un loisir toujours plus en vogue.

Mais aussi attractif que ce loisir puisse être, il devient déjà bien plus onéreux lorsqu'un particulier se retrouve propriétaire d'un cheval. D'autant plus que la grande majorité des détenteurs de canasson doivent caser leur animal en pension. "Pour l'entretien et la pension,...

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