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La course à pied, l’essayer c’est l’adopter

Que ce soit pour profiter de leur temps libre durant cette période de semi-confinement, pour remédier à l’absence de leur sport favori ou pour se préparer à un grand objectif estival, nombreux sont les Valaisannes et les Valaisans à s’élancer à la découverte d’un sport et d’un univers à portée de baskets.

30 avr. 2020, 05:30 / Màj. le 01 mai 2020 à 05:30
Après deux années sans sport, Benoît Basili a décidé de s'y remettre en se lançant dans le monde de la course à pied.

La course à pied, la plupart d’entre eux la fuyait, voire même la craignait, il y a encore quelques mois ou semaines de cela. «J’ai fait du football pendant longtemps et la course, c’était la chose que j’aimais le moins dans ce sport. Passer quarante-cinq minutes à courir sur du goudron en plein hiver, je ne voyais pas le plaisir», avoue Benoît Basili, un Sierrois de 28 ans. «La course, c’était simplement l’épreuve avant de pouvoir toucher au ballon.»

Mais après avoir mis entre parenthèses ses prétentions sportives durant deux ans, l’informaticien a décidé de se remettre au sport dans la foulée de son inscription à Sierre-Zinal. «Avec un objectif en tête, cela devient plus facile de se motiver à s’entraîner.»

Un objectif que le Chippiard d’origine partage avec bon nombre de coureuses et de coureurs néophytes. «C’est la première fois de ma vie que je m’y mets», avoue avec...

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