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«Il n’y a jamais assez d’éducation et d’entraînement»

La première étape du Freeride World Tour est en suspens à Chamonix. Le patron du circuit Nicolas Hale Woods en profite pour évoquer la notion de sécurité et le développement de la manifestation.

29 janv. 2017, 23:23 / Màj. le 30 janv. 2017 à 00:01
Edition 2015 de l'Xtreme de Verbier, l'événement fête ses 20ans. Les "riders" repèrent la face avant la finale du FWT.



Portrait de Nicolas Hale-Woods organisateur de l'étape.



Louis Dasselborne/Le Nouvelliste

Prévue initialement samedi, la première étape du Freeride World Tour (FWT) à Chamonix est toujours en suspens. En cause: le fin manteau neigeux, souvent changeant, qui ne permet pas la tenue de l’épreuve sur l’une des cinq faces sondées dans les alentours du domaine skiable haut-savoyard. «Il y a encore des endroits avec de la poudre, mais après deux virages on arrive dans du gros sel, puis sur de la neige soufflée et glacée», confie Nicolas Hale-Woods, grand patron du circuit. Des faces du côté de Courmayeur et de Vallorcine ont été inspectées sans plus de succès. Sauf chutes de neige abondantes entre aujourd’hui et demain, la compétition sera reportée à Andorre la semaine prochaine où se tient déjà une épreuve. Ces reports sont l’occasion de parler sécurité et développement de la marque FWT avec Nicolas Hale-Woods.

Le Freeride World Tour a beau regrouper les meilleurs freeriders mondiaux, on...

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