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Geneviève de Sépibus, la femme qui fixe les chevaux sur la pellicule

Geneviève de Sépibus aime la photo. Mais elle voue une passion plus forte encore aux animaux. Son activité l’occupe à plein temps. Elle n’est pas lucrative.

21 sept. 2018, 17:00 / Màj. le 22 sept. 2018 à 05:30
Geneviève de Sépibus marche entre les obstacles, son appareil photo entre les mains, du matin au soir.

«Geneviève? J’avais 12 ans, c’était déjà elle qui me photographiait quand je disputais mes premiers concours…» Michel Darioly, organisateur de plusieurs épreuves hippiques en Valais, sourit de l’anecdote. Parce qu’il en a 55, aujourd’hui. Et que Geneviève de Sépibus, – très – alerte septuagénaire, est toujours là. Lui ne monte plus. Elle, par contre, n’a pas quitté sa position préférée, tout près d’un obstacle.

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Quel que soit le temps, la température ou l’heure, Geneviève de Sépibus, née à Lausanne, française par sa mère, valaisanne par son père, citoyenne de Genève, ne lâche pas son boîtier. Du premier au dernier concurrent, elle est là. Fidèle. Des heures durant. «C’est normal, je ne voudrais pas manquer un concurrent qui pourrait gagner», s’étonne-t-elle presque de la remarque. «Par contre, je ne fais pas la remise des...

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