Sport: et pendant ce temps-là, on peut toujours skier…
Voilà des semaines, déjà, que l’on ne peut tenir une raquette de badminton, plonger dans une piscine, qu’il n’est plus permis de griffer la glace, qu’on ne peut plus entrer dans un fitness ou un quelconque centre sportif. On se dit toutefois qu’échanger des balles sur un court de tennis, à deux et à plus de 25 mètres l’un de l’autre, on ne prend pas trop de risques. Raté, là encore. Et c’est appelé à durer quelques semaines encore. Pendant ce temps-là, dans un monde qui paraît totalement parallèle, on peut continuer à faire la queue au bas des remontées, s’entasser dans les cabines et skier en toute impunité. Le pire, c’est que ça n’a l’air de choquer personne.