Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Covid-19: le ski a droit à une impunité que d’autres sports de plein air n’ont pas

Le ski est – probablement – une activité sans grand risque. Il est nécessaire à l’activité touristique et économique de notre canton. Mais il y a bien d’autres activités sportives et économiques qui ne sont pas plus dangereuses et qui ne méritent pas, elles, d’être fermées. La chronique de Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

18 janv. 2021, 19:00
Christophe Spahr, responsable des sports au Nouvelliste.

Sport: et pendant ce temps-là, on peut toujours skier…

Voilà des semaines, déjà, que l’on ne peut tenir une raquette de badminton, plonger dans une piscine, qu’il n’est plus permis de griffer la glace, qu’on ne peut plus entrer dans un fitness ou un quelconque centre sportif. On se dit toutefois qu’échanger des balles sur un court de tennis, à deux et à plus de 25 mètres l’un de l’autre, on ne prend pas trop de risques. Raté, là encore. Et c’est appelé à durer quelques semaines encore. Pendant ce temps-là, dans un monde qui paraît totalement parallèle, on peut continuer à faire la queue au bas des remontées, s’entasser dans les cabines et skier en toute impunité. Le pire, c’est que ça n’a l’air de choquer personne.

A lire aussi : Coronavirus: les domaines skiables ne sont pas intouchables, ils pourraient fermer en cas de nécessité

A lire aussi...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias