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Tennis: avec Roger Federer, à Roland-Garros, la terre lave plus blanc

N’importe quel joueur lambda qui dispute un match sur terre battue sort du court maculé de sable et marqué, physiquement. Roger Federer, lui, est toujours propre sur lui. Il pourrait presque se rendre en boîte. C’est énervant, une telle perfection. La chronique de Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

03 juin 2019, 19:00
Christophe Spahr, responsable de la rubrique des sports.

Cyclisme: Simon Pellaud n’est pas qu’un attaquant compulsif

N’avait-on pas déjà à peu près tout dit, ces dernières semaines, à propos de Simon Pellaud? Eh bien non! Le Martignerain est généreux dans l’effort; il est un attaquant compulsif. En résumé, il ne calculait jamais. Le passé, ici, n’est pas anodin. Parce qu’en France, en l’espace de trois jours, il a démontré une autre facette de son potentiel. Il a été capable de refréner ses ardeurs; il a été bon tactiquement, attentif et reconnaissant envers ceux qui l’ont aidé à gagner. Il mérite vraiment un contrat à l’étage supérieur et de gagner convenablement sa vie plutôt que de survivre.

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Tennis: la variété, c’est tout le secret de Roger Federer

Je le reconnais, je ne voyais pas Roger Federer prolonger son séjour à Paris au-delà de...

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